L’arrestation de ces responsables politiques a été condamnée par de nombreux partis, mouvements politiques et organisations de la société civile.
Depuis les partis politiques avaient décidé de ne prendre part à aucune activité politique organisée par les autorités. C’est ainsi qu’ils pont boycotté la rencontre avec l’autorité indépendante de gestion des élections et la rédaction de l’avant-projet de la charte pour la paix et la réconciliation nationale.
Organiser les élections pour décrisper l’atmosphère
Pour le politologue Oumar Toumani Diallo, la prochaine libération de ces responsables politiques pourrait être un soulagement pour leurs compagnons de lutte. L’observateur estime cependant que la décrispation de l’atmosphère politique dépendra de l’organisation des élections au Mali.
Oumar Toumani Diallo politologue
Source: Studio Tamani