Le président de l’IHEM Abdoullah Coulibaly n’a pas passé sous silence le déterminant joué par les structures de contrôle interne, comme le Bureau du Vérificateur General et la Cour Suprême, mais aussi la presse, l’opposition républicaine et les partenaires, sans lesquelles le pas consenti vers plus de transparence au Mali ne serait jamais une réalité.
Pour lui, les structures de contrôle interne, comme le Bureau du Vérificateur General et de la Cour Suprême du Mali ont apporté la preuve de leur crédibilité dans notre Etat. De même, « la presse et l’opposition républicaine doivent aussi être saluées à travers le comportement vigilant et responsable qui a été le leur lors des affaires qui ont défrayé la chronique ces dernières semaines ». Un hommage vibrant doit enfin être adressé aux partenaires du Mali qui, dans un effort de solidarité exemplaire ont aidé et continuent d’aider l’Etat malien à se relever et à se consolider. Leur action doit être saluée et poursuivie, parce que bénéfique à long terme pour notre pays. C’est un message concret de soutien qu’ils nous ont délivrés : celui de la croyance en un avenir ensoleillé d’unité, de paix et de développement pour notre pays, soutient le président de l’IHEM. « Nous avons surtout compris qu’ils partagent, pour l’essentiel, notre vision d’un Mali émergent, à travers le renforcement de ses institutions.
C’est en cela que la bonne gouvernance que l’article 09 de l’Accord de Cotonou révisé définit comme « une gestion transparente et responsable des ressources humaines, naturelles, économiques et financières, en vue d’un développement équitable et durable » devient un enjeu essentiel dans nos relations de coopération », poursuit-il. Nous devons le comprendre et accepter certains de leurs conseils et suggestions parce que nous avons un intérêt commun à un contrôle mutualisé des ressources, conclut-il.
Source: Lerepublicainmali