Les Nations Unies ont célébré le 30 août dernier, la journée internationale des victimes de disparition forcée. A cette occasion, le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres a appelé plusieurs Etats à » s’employer davantage pour prévenir les disparitions forcées et traduire en justice les responsables « . Une déclaration qui interpelle beaucoup de pays dont le Mali affecté par le terrorisme et les conflits intercommunautaires. Cela fait trois ans que notre confrère Birama Touré de l’hebdomadaire Sphinx n’a plus donné signe de vie.
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Source: l’Indépendant