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Les affrontements entre la CMA et Gatia à la une des journaux maliens

Les violents affrontements qui ont opposé les ex-rebelles de la CMA et le groupe armé loyaliste Gatia sont à la une des quotidiens parus ce vendredi au Mali.

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« Bilan des affrontements du mercredi aux alentours de Kidal : au moins une vingtaine de morts, des blessés et des prisonniers », indique l’Indépendant.

Le quotidien Info-Matin parle de ‘’chaos à Kidal’’ précisant que le bilan des victimes est très lourd avec des blessés et d’importants dégâts matériels. Les journaux condamnent cette énième violation du cessez-le feu et demandent à la communauté internationale de peser de tout son poids pour remettre l’accord sur de bons rails.

Parlant de l’accord, au regard des affrontements entre parties signataires, le quotidien Le Républicain écrit : « Récurrence de conflits meurtriers entre les groupes armés à Kidal : Péril sur le processus de paix au Mali ».

Sur un tout autre plan, Le Combat parle du « double résultat du bac dans la région de Koulikoro » titrant sur « 221 admis au bac recalés à Koulikoro ».

La rectification des résultats fait suite à des irrégularités et omissions constatées sur les résultats publiés le 19 juillet ce qui fait dire au journal que « des têtes vont tomber » suite à des cas de fautes professionnelles.

Le Républicain, lui, s’intéresse à un autre aspect de l’information : la réaction des parents d’élèves. « La colère des parents d’élèves et professeurs ne s’est pas fait attendre. Ils attribuent cette erreur au directeur de l’Académie ».

L’Indépendant s’inquiète du front social en ébullition. En effet, d’après le confrère « 51 préavis de grève ont été adressés à la fonction publique à la date du 5 juillet dernier. »

Enfin Info-Matin se fait l’écho d’une réunion d’acteurs de la société civile des pays du G5 Sahel à Bamako. Pour le journal on va « vers le G5 Sahel des acteurs de la société civile. »

Les raisons de l’organisation de cette rencontre d’acteurs de la société civile du Burkina, de la Mauritanie, du Niger, du Tchad et du Mali, « résultent du fait que la crise sécuritaire frappe au Sahel ». Les sociétés civiles veulent jouer leur partition dans ce combat pour la sécurité et la stabilité dans la sous-région, écrit Info-Matin.

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