Et si la découverte d’une quantité importante d’uranium à Kidal motivait le deal entre la France et le MNLA. En tous les cas il y a bel et bien cette matière à Kidal, une ville interdite à l’armée malienne depuis le début de l’offensive contre les Djihadistes au Nord de notre pays.
L’ex président ATT en sait quelque chose. Lui qui a déclaré le 21 décembre 2008, à Kéniéba, lors de la pose de la première pierre de la Route Kita – Sekokoto- Falémé- Dabia- Saraya- kédougou, que « l’une des plus grandes réserves d’uranium a été découverte dans la Région de Kidal. Les travaux dans ce domaine vont engendrer 2000 emplois en 2 ans et 5000 en 5 ans. Ainsi, les gens vont quitter kéniéba, Ansongo, bref toutes les Région du Mali pour aller chercher du travail à Kidal… ».
ATT savait de quoi il parlait. Depuis, que d’attaques armées dans cette partie de notre pays. Comme par magie, le MNLA a été créé grâce à la bénédiction de certains intérêts occidentaux. Les mots indépendance et autonomie ont été alors exigées par les bandits armés du MNLA. La France doit savoir que le Mali reste et demeure indivisible.
Kidal, avec ou sans uranium, ne sera jamais sous l’emprise d’une quelconque force même soutenue et entretenue par une main invisible. Nous seront là, nous les maliens, « débout sur les remparts ». Et comme IBK, personne d’entre les maliens ne négociera avec ces criminels. Les Accords alambiqués de Ouagadougou sont désormais dans les tiroirs. Engageons-nous aux côtés du président IBK dans sa fermeté face au MNLA et ses soutiens.