Ibrahim Boubacar Keita, le président de la République du Mali, est un homme comblé ; même s’il sait que, c’est depuis ce vendredi historique, date de la signature ici, à Bamako, sur les bords du fleuve Niger, de l’accord d’Alger, le vrai travail du retour de la paix commence. Son bonheur n’a pas de dimension, il n’a d’égal que l’espoir que la confiance qu’il a de son peuple, de son pays, face à l’énorme défi qui s’affiche, le défi de la concrétisation matérielle de l’accord.
Ibrahim Boubacar Keita, le président de la République du Mali, est un homme comblé ; même s’il sait que, c’est depuis ce vendredi historique, date de la signature ici, à Bamako, sur les bords du fleuve Niger, de l’accord d’Alger, le vrai travail du retour de la paix commence. Son bonheur n’a pas de dimension, il n’a d’égal que l’espoir que la confiance qu’il a de son peuple, de son pays, face à l’énorme défi qui s’affiche, le défi de la concrétisation matérielle de l’accord.
source : La Nouvelle Patrie