La révélation a été faite par le président du parti SADI, Dr. Oumar Mariko, lors d’une conférence de presse, lundi dernier, au siège de son parti. Oumar Mariko semble avoir donné comme mobile à ce ralliement en masse d’une partie de la jeunesse de Niono à la cause jihadiste la réaction musclée des éléments des forces de sécurité dans la ville, au lendemain de l’assassinat du Commissaire Issiaka Tounkara.
» Suite aux exactions et tortures exercées sur leurs parents, au moins 200 jeunes de Niono ont rejoint le camp d’Amadou Koufa « , a-t-il déclaré. Si cette information se vérifiait, la lutte contre le terrorisme au centre du pays, précisément dans la région de Ségou, s’annonce plus complexe.
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Source: l’Indépendant