Une information qui n’a cependant toujours pas été confirmée par la France, ni même par l’organisation terroriste.
En novembre 2015, son groupe Al-Mourabitoune a href= »http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/hotel-radisson-au-mali-l-algerien-mokhtar-belmokhtar-sans-doute-a-l-origine-de-cet-attentat-20-11-2015-5297545.php » class= »local_link » target= »_blank » *la prise d’otages meurtrière de l’hôtel Radisson Blu de Bamako (Mali), « avec la participation » d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Le terroriste algérien Mokhtar Belmokhtar, rallié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), a été visé récemment par une frappe aérienne française en Libye, et est probablement mort, a indiqué lundi un responsable américain au « Wall Street Journal ».
Selon El Watan, qui cite les services de renseignement de l’Algérie, du Niger et du Mali, Mokhtar Belmokhtar est porté disparu en avril 2015. Cette dernière a eu lieu au mois de novembre, avec le soutien du renseignement américain, a annoncé un responsable américain, confirmant ainsi des informations parues dans le Wall Street Journal ce lundi 28 novembre.
Mokhtar Belmokhtar est-il vraiment mort? Les Etats-Unis avaient mis à prix la tête du djihadiste pour cinq millions de dollars.
L’homme est un vétéran du jihadisme.
Il a fait partie du Groupe islamique armé (GIA, démantelé en 2005), puis du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), une dissidence du GIA soutenue par Ben Laden, qui deviendra l’Aqmi, et avec lequel il entretiendra des rapports conflictuels.
Al-Mourabitoune est né en août 2013 de la fusion du groupe des « Signataires par le sang », unité combattante créée moins d’un an plus tôt par Belmokhtar, et du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao).
Al Mourabitoune, le nouveau groupe dont il prend la direction, officialise son ralliement à Aqmi en décembre 2015. D’ailleurs trois soldats français sont morts dans le crash de leur hélicoptère en juillet dernier.
Selon son entourage, M. Le Drian devait également rencontrer dans l’après-midi le général Michael Flynn, le futur conseiller pour la sécurité nationale du président élu Donald Trump. Tous droits de reproduction et de représentation réservés. Par conséquent, aucune de ces informations ne peut être reproduite, modifiée, transmise, rediffusée, traduite, vendue, exploitée commercialement ou réutilisée de quelque manière que ce soit sans l’accord préalable écrit de l’AFP.
Source : AFP