Deux compagnies de l’infanterie blindée soit 500 hommes, logisticiens, mécaniciens, combattants et cuisiniers sont à pied d’œuvre pour deux semaines au camp militaire de La Courtine et dans sa périphérie pour des exercices tactiques de cohésion.

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Un tireur élite en embuscade au village de combat

Cette manœuvre nécessite des moyens d’engins blindés. Le « Dingo » est un véhicule sécurisé, avec un blindage efficace et un armement adapté aux missions en opération extérieure. L’adjudant-major Smets, qui est également président des sous-officiers belges, nous commente cet exercice qui a commencé au camp de Mourmelon pour se poursuivre en Creuse, où l’armée belge va s’entraîner à des tirs et des exercices tactiques en zone urbaine dans le village de combat.Le « Dingo », un véhicule blindé équipé d’armement pour mission extérieure à La Courtine.

Tester la cohésion

Composées essentiellement de Flamands et de quelques francophones, les deux compagnies viennent du côté Est de la Belgique, de la ville de Leopoldsburg qui se trouve à deux jours de route de La Courtine.

Infanterie – Séance d’instruction pour les hommes d’une équipe avant un assaut de maison

Deux exercices importants qui testent la cohésion des hommes et des unités, mais également le moral et le physique, ont pour cadre le site courtinois sous le commandement du capitaine Vanduel.

L’Armée Belge en préparation pour un exercice majeur à La Courtine

Le camp de La Courtine, son chef de détachement du 126 e RI et le service du capitaine responsable des activités en terrain ont tout mis en œuvre pour faciliter l’accueil des deux compagnies qui séjourneront jusqu’au 14 avril. A La Courtine, la population accueille toujours très favorablement les troupes qui, même en mission, facilitent les meilleures relations conviviales.

Claude Monnerie