L’apport de valeur ajoutée passe par la transformation d’une matière première en un produit qui peut être vendue à un prix plus élevé. Par exemple, les grains de blé utilisés pour en faire de la farine ou des biscuits.
En outre, les entreprises russes moyennes sont aussi très intéressées par l’achat de fruits et d’autres marchandises africaines, a souligné Dmitri Biritchevski.
En dépit de quelques difficultés avec les paiements, les sociétés russes tissent des liens avec le continent africain, constate-t-il. Les volumes ne sont pas grands pour le moment, mais la tendance est très nette, fait valoir le diplomate.
La preuve de cet intérêt croissant est la présence de coopération économique au menu de la réunion Russie-Afrique au niveau des chefs de la diplomatie, prévue en novembre à Sotchi, en Russie.
Source: https://fr.sputniknews.africa/