Une fois mise en place, une telle institution « réunirait les plus grands acheteurs et exportateurs de céréales du monde », constate le directeur du bureau de liaison de l’Onu pour l’alimentation et l’agriculture avec la Russie.
Dans un entretien à Sputnik Afrique, Oleg Kobiakov rappelle qu’aujourd’hui, « c’est seulement la bourse de Chicago qui en fait dicte les prix pour le blé au monde entier ».
Selon lui, l’éventuelle bourse de céréales des BRICS assurerait « une meilleure prédictibilité du marché pour la saison prochaine ».
« Et bien sûr, la croissance de ce deuxième centre mondial de céréales va diminuer les prix dans la perspective plus éloignée », estime le responsable.
Source : Sputnik