On est à quelques jours du mois béni de Ramadan. Comme toutes les autres années, le sucre sera un luxe uniquement accessible aux riches pendant cette période.
Il est passé de 550 à 650 dans certaines parties du pays et atteindra 700 f pendant la première semaine du mois de carême. Les fautifs de cette situation sont entre autres : l’État dans son incapacité à fixer et à contrôler le prix ; les commerçants dans leurs cupidités pour gagner plus et les consommateurs (c’est-à-dire le peuple) dans leur laxisme à tout accepter ou à attendre une intervention divine.
La Rédaction
=Source: Le Démocrate-Mali