Il n’y a pas si longtemps, il était, au Mali, comme Dieu le Père. Profitant de son poste de ministre des Affaires Etrangères, il en a profité pour tordre la main d’IBK pour s’arroger le marché des passeports biométriques maliens. Dont le bénéficiaire n’est autre qu’une entreprise bretonne. Selon une rumeur, qui enfle sur les réseaux sociaux maliens, l’histoire remonte à 2015. Elle avait, à l’époque grand bruit à l’Assemblée nationale, qui s’en ai servi pour demander des comptes au régime en place.
Outre le fait que ce marché était attribué, de gré à gré, au Breton et l’entreprise de son fils, Thomas, la facture avait explosé. Au même moment, les recettes du gouvernement avaient baissé. Considérablement. Mais, comme qui dirait, « circulez, Il n’y a rien à voir ! ».
Pourtant, quelques jours après, c’est notre confrère « Jeune Afrique », l’hebdromaire franco-africain, qui relance l’affaire dans un dossier croustillant.
Jean-Yves « Le Truand L’artisan », l’artisan de la politique africaine de Macron était bien là, depuis 10 ans, entre affaires et « enfer ».
Selon nos informations, les enquêtes se poursuivent. Et les résultats donneront le vertige pour nombre de « politicards » gaulois, dont la plupart commencent, déjà, à devenir chauves. Show devant !
Oumar Babi
Source : Canard Déchainé