La Jeune Chambre Internationale,JCI Bamako Espoir, a remis le 1er juillet 2020 une quantité importante de masques lavables au Centre secondaire d’état civil de N’Tomikorobougou en commune III du district de Bamako. C’était en présence de Mamadou Kouyaté, maire délégué du centre secondaire d’état-civil de N’Tomikorobougou, Modibo Ba, président de la JCI Bamako Espoir et Chérif Ali Haïdara, Secrétaire général du Conseil régional de la jeunesse.
Dans le cadre de la lutte contre la Covid-19, la Jeune Chambre Internationale Bamako Espoir a fait don de 400 masques lavables au centre secondaire d’état civil de N’Tomikorobougou.
Mamadou Kouyaté, le maire délégué, a exprimé sa reconnaissance au donateur pour ce geste, qui selon lui, protégera son personnel contre la Covid-19, les usagers de la mairie et même une grande partie des couches vulnérables de son quartier.
La fraternité humaine transcende la souveraineté des nations
Au nom des bénéficiaires, Chérif Ali Haïdara a remercié la JCI pour son assistance. Il a rassuré que la jeunesse reste engagée dans cette lutte. Le choix de N’Tomikorobougou, à en croire le président de la JCI Bamako Espoir, s’explique par le fait que le maire de ce quartier est le parrain de son mandat de l’année 2020 et un ancien membre de son organisation.«Il ya une partie de notre credo qui dit que la fraternité humaine transcende la souveraineté des nations et à la fin de notre credo on dit ceci : servir l’humanité constitue l’œuvre la plus noble d’une vie. Donc nous sommes animés de cela, raison pour laquelle nous sommes venus soutenir un de nos membres qui a servi notre organisation avec brio et amour. Venir à sa mairie pour faire ce don ne peut être qu’un plaisir pour nous», a indiqué Modibo Ba.
Très satisfait de ce geste si noble surtout en cette période de crise sanitaire, Modibo Ba se lâche. «Devant nous déjà, le maire a commencé la distribution des masques au personnel de sa mairie et aux usagers. Il procédera à la seconde vague de distribution aux usagers du marché d’à côté et aux autres couches du quartier de N’Tomikorobougou», a-t-il conclu.
Bourama Camara
Source : Le Challenger