Sur instruction du président de la République, en 2018, les check-points avaient été démantelés et fermés. Aujourd’hui, les mêmes check-points ont repris leur place avec braquage des pinasses. Environ onze (11) check-points attaquent les embarcations.
Parmi les bandits armés qui attaquent les embarcations, il y a des membres de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), ceux de la Coordination des Mouvements et Forces Patriotiques (CMFR2) et un du Groupe autodéfense touareg Imghad et alliés (GATIA). Il ne saurait avoir plusieurs forces de sécurité dans un pays indépendant et souverain.
Source : L’Inter De Bamako