Après la Tabaski, la gestion des peaux de moutons immolés reste l’une des équations non encore résolues. Ces peaux sont pour la plupart jetées dans les rues et les caniveaux. Le pays ne disposant pas d’unités de transformation ou de sociétés d’exportation suffisantes pour absorber la quantité. La situation impacte négativement l’environnement et provoque des maladies pour les populations. Certains espaces sont transformés en dépôt de peaux de mouton, provoquant l’insalubrité et son corollaire de maladies. Un magazine réalisé Imirana Kilou Maiga