Dans un mois, la communauté musulmane fêtera la Tabaski. En cette occasion, chaque chef de famille, se fait le devoir de sacrifier un mouton au miséricordieux. Au delà de l’aspect spirituel, il y a l’aspect familial, du moment où on veut faire plaisir à sa famille en lui offrant un mouton. Mais, comme à l’approche de chaque fête de Tabaski, le mouton est cher voire trop cher pour les petites bourses.
Tabaski, c’est le mois prochain soit dans un mois environ. Mais, déjà, à Bamako, le prix du mouton a pris l’ascenseur comme si nous étions à deux jours, seulement, de l’évènement. Au niveau des différents parcs de la capitale, le prix du mouton ne cesse de grimper. Déjà avec la somme de 50 000, on a difficilement, le mouton de son choix. A une semaine de la fête, il faudra combien pour « l’agneau du sacrifice » ?
Que faire pour que le prix du mouton soit à la portée des fidèles musulmans ? C’est la grande question à laquelle fidèles musulmans, vendeurs croyants et autorités, doivent trouver réponse adéquate.
Jean GOITA