Cet effort a été nécessaire “pour qu’il y ait la quiétude pour qu’on puisse mener les activités économiques”, a-t-il expliqué.
Maîtriser la question sécuritaire est l’essentiel, a souligné le haut responsable. Cependant, avec l’amélioration de la situation sur le terrain, le pays aura moins besoin d’acquérir des équipements militaires et pourra alors diriger les fonds vers le développement et les questions sociales, a assuré le ministre.
Les autorités envisagent également d’œuvrer pour réduire le déficit budgétaire qui si situe actuellement à hauteur de 6,7% du PIB et arriver à 4,5% en 2024. Le plan pour 2025 prévoit une “consolidation budgétaire” qui doit permettre de baisser le déficit à 3% du PIB, a fait savoir le ministre.