L’opposition malienne est montée au créneau la semaine dernière pour dénoncer la gestion du régime IBK qu’elle juge d’ailleurs catastrophique. Or en réalité, ses différents responsables n’ont rien proposé concrètement pour pallier les crises qui minent le pays en cette période. Certains responsables ont même pris l’avion pour Paris afin d’exposer le linge sale du Mali sur la place mondiale.
Le premier anniversaire du président IBK au pouvoir suscite beaucoup de réactions au sein de l’opposition dont certains responsables n’ont pas hésité à demander sa démission du pouvoir au profit d’une élection anticipée. En France comme au Mali, ces opposants se sont contentés de critiquer la gestion des douze premiers mois de Ladji IBK.
Les cadres du PARENA et d l’URD se sont montrés plutôt virulents vis-à-vis du pouvoir.
A constater de près, on remarque que ces hommes n’ont rien à envier aux bourdons. Imaginez un peu la foutaise de ces dirigeants de l’opposition politique qu’on connait peu dans l’entourage de leurs habitations. Par exemples : le quartier de Badalabougou qui abrite le siège de l’URD, en cette période hivernale est dans un état pitoyable pour les habitants, pour la simple raison que dès que la pluie tombe, le marché devient impraticable à cause eaux de ruissellement, de la boue, jusqu’aux alentours du siège de ce parti ; alors que Soumi loge sur les berges du fleuve Niger n’ayant rien à voir avec l’impraticabilité des voies qui traversent le quartier. Or, le maire URD que Soumi a aidé à accéder au fauteuil (Demba Fané), de 2004 à 2009 n’a pas posé une seule pierre dans ce quartier. Qu’est-ce que ces responsables de l’URD veulent nous faire croire.
Quant à Tièbilé Dramé, il n’a rien compris dans la politique. Cet homme est un chômeur potentiel qui se jette banalement dans le giron des différents régimes qui se sont succédé à Koulouba depuis l’avènement de la démocratie pluraliste au Mali. Sauf qu’en 2013, il s’est montré catégoriquement opposé, à travers le FDR, à la tendance qui avait plus de force. Cette dernière ayant remporté l’élection, le PARENA s’est retrouvé au plein cœur de l’opposition politique. Le gendre de l’ex- président AOK mène une politique « alimentaire » qui ne dit pas son nom. S’il a pu mener à bien l’accord de Ouaga, il n’était pas le seul capable, mais son choix émane simplement de la volonté des plus hautes autorités d’accorder une chance à toutes les tendances possibles. Dans son entourage où il réside, Tiébilé est mal aimé, car il n’est pas sociable. Pire, il ne contribue aucunement pour le développement de sa
commune. Au de prendre un billet d’avion aller-retour dans le but d’animer une conférence à Paris, pourquoi ne pas investir pour au moins réparer la voie principale qui passe devant sa porte. Une route en piteux état et qui devient impraticable surtout après la pluie. Qu’il prouve sa bonne foi s’il s’agit du bien-être des maliens en acceptant de s’investir dans sa commune.
En somme, les responsables de l’opposition malienne doivent avoir honte. Ils ne font que critiquer et revendiquer. Autrement dit, l’opposition malienne ne vaut pas mieux que l’AEEM. Ils ne grandissent pas ! Ils clament que le président IBK n’en peut plus, or toutes leurs propositions sont des utopies.
La rédaction
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AN I d’IBK au pouvoir : L’opposition Malienne entre bavardage et hallucinations !
Par kante
11/09/2014
SOURCE: L’Annonceur