Cela est valable… partout.
Dans l’Aube du 05 juin 2017, ch Sylla écrit :
‘’Avec cette désillusion généralisée de ses compatriotes qui ont cru en ses capacités à relever le Mali et à satisfaire les besoins essentiels des populations, comment IBK compte-t-il aborder l’échéance de 2012 ?’’
Pas de soucis, puisque 2012 ne viendra jamais.
Encore dans l’aube du 05 juin 2017, le confrère écrit :
‘’Un pas décisif vient d’être franchi dans l’opération de tripatouillage de la Loi fondamentale de notre pays, avec l’adoption en Conseil des ministres extraordinaire du 10 mars 2017, du projet de la loi portant révision de la Constitution du 25 février 1992 en violation flagrante de l’article 118 de la Constituions (on ne cessera de le dire : le Mali n’est pas souverain sur le territoire régional de Kidal) selon lequel « Aucune procédure de révision ne peut être engagée ou poursuivie lorsqu’il est porté atteinte à l’intégrité du territoire ». Telle est la remarque très pertinente de Dr Brahima Fomba, Chargé de Cours à Université des Sciences Juridiques et Politiques de Bamako (USIP).’’
Une ‘’remarque très pertinente’’ dites-vous ?
C’est vraiment fou !
Dans le soir de Bamako du 05 juin 2017, Boubacar Diarra écrit :
‘’La division des affaires civiles de la MINUSMA a procédé, il a quelques jours, à la remise officielle d’un projet de réhabilitation et d’équipement de trois écoles fondamentales des communes de Kidal et Anefis. Financé à hauteur de 122 millions de FCFA, à travers le Fonds fiduciaire de l’ONU en appui à la Paix et à la Sécurité au Mali, ce projet contribuera à répondre au droit à l’éducation des enfants de ces deux localités.’’
A condition que les enfants de ces localités s’y trouvent.
Dans le Repère du 05 juin 2017, la conférence Epistocale du Mali précise :
‘’Les auteurs de l’article tendancieux visent-ils plutôt un autre objectif inavoué que celui d’apporter des informations constructives à l’opinion ?’’
Affirmatif !
Dans les Echos du 06 juin 2017, le confrère cite le Directeur Nationale de l’Ecole fondamentale dans une lettre adressée aux candidats au DEF 2017 :
‘’Chère candidate, cher candidat au DEF, dans la rue, à la maison ou dans la salle d’examen, méfie-toi de toutes ces personnes, qui te proposeront des sujets d’examen ou des corrigés, pour, soi-disant, t’aider à réussir ton examen. Sache que personne ne peut te venir en aide en dehors de toi-même. S’il t’arrive de tomber dans le piège de ces personnes malfaisantes, malgré les sage conseils et les instructions que t’ont donnés tes maîtres et tes parents, sache que tu encoures de graves sanctions.’’
Ce n’est pas le jour de la guerre qu’il faut préparer les flèches.
Toujours dans les Echos du 06 juin 2017, le confrère cite le Directeur Nationale de l’Ecole fondamentale dans une lettre adressée aux candidats au DEF 2017 :
‘’Chers parent d’élèves.
La réussite ou non de votre enfant dépend en grande partie de l’intérêt que vous accordez à son travail scolaire.
Aujourd’hui qu’il est candidat, plus qu’hier, il a besoin de votre appui. Créez pour lui les conditions idoines de réussite. Organisez ses loisirs et ses instants de labeur en ayant à l’esprit que : « ce n’est pas le jour de la battue qu’il faut dresser son chien de chasse ».
Ce conseil est aussi valable pour vous, Mr le Directeur.
Rassemblés par
Boubacar Sankaré
Par Le Confident