Pleurer ou se réjouir. J’opte pour les larmes en pensant à une année scolaire tronquée, une autre de plus, à l’image de toutes les années précédentes où nos écoles deviennent de véritables usines à gaz sacrifiant l’avenir de milliers d’enfants de pauvres.
Je ne retrouverai le sourire que lorsque je verrais un pouvoir responsable prendre véritablement à bras le corps le système éducatif dans son ensemble pour redonner à tous les jeunes maliens un espoir semblable à celui que des irresponsables ont eu grâce à la bienveillance de la nation malienne, ces irresponsables qui aujourd’hui bafouent la dignité humaine à travers le sabotage de l’école.
Le Confident