Les responsables de l’EDM et de la SOMAGEP ont défilé dans les médias pour expliquer. Mais la réalité est toute autre. En effet certains quartiers de Bamako peuvent faire des heures, voire des jours sans eau ni électricité.
Les couches vulnérables en sont les principales victimes. Dans certaines régions c’est pire. Si on ne connaissait pas les difficultés de ces deux sociétés, on aurait crié au sabotage.
Nouvelle République