“Nous avons indiqué à la CPI que nous sommes en mesure de juger Simone Gbagbo. Les interrogatoires sont en cours et le processus se déroule normalement. Il n’y a pas de raison que nous ne puissions pas la juger en Côte d’Ivoire,” a déclaré Alassane Ouattara Rechercher Alassane Ouattara en réponse à une question relative au transfèrement ou non de l’ex première dame visée par un mandat d’arrêt émis par la justice internationale.
“Sur cette question je pense qu’au 10 octobre la CPI Rechercher CPI ferra le constat que nous avons déroulé les procédures comme il se doit par rapport au jugement de madame Simone Gbagbo. Et par conséquent nous avons toutes les capacités de la retenir en Côte d’Ivoire pour la juger,”a-t-il précisé.
Par ailleurs au moment où il est question du transfèrement de Simone à la Haye.
Nous apprenions enfin que le 17 septembre 2014, la Présidence de la Cour pénale internationale (CPI) a reconstitué la Chambre de première instance I, qui sera en charge de l’affaire Le Procureur c. Laurent Gbagbo.
La Chambre de première instance I est désormais composée des juges Cuno Tarfusser (Italie), Olga Herrera-Carbuccia (République dominicaine) et Geoffrey Henderson (Trinité-et-Tobago)