A notre grande surprise, le 3 mai dernier, Journée internationale de la presse, un comité d’éthique et de déontologie a été présenté à l’assistance. Le Groupe patronal de la presse écrite se démarque de cette structure pour trois raisons.
La première : il n’a été associé ni de près ni de loin à une quelconque structure chargée de l’autorégulation au sein de la presse.
La seconde : une telle structure doit requérir l’adhésion des professionnels de la presse pour asseoir son autorité morale.
La troisième raison porte sur le choix des hommes et des femmes, sélectionnés de façon discriminatoire, sans demander l’avis des organes de presse voire des structures professionnelles concernées.
C’est pourquoi, le Groupe patronal de la presse ne reconnait pas ce comité et ne se soumet nullement à son jugement.
Elhadj Chahana Takiou, président du Groupe patronal de la presse
Par 22 Septembre