Pour surmonter les dangers croissants de la faim, de la division sociale, des conflits, de la violence et du changement climatique, le Groupe de la banque mondiale invite le monde à changer de cap. La pleine intégration du climat et du développement, l’optimisation de « l’impact des financements climatiques », sont des axes indispensables pour réduire la pauvreté et promouvoir une prospérité partagée.
Pour y réussir, le Plan d’action du Groupe de la banque mondiale sur le changement climatique invite à mettre l’accent sur six (6) actions : accroître les financements climatiques, privilégier les résultats et l’impact sur le plan du climat, améliorer les diagnostics climatiques et en élargir le champ, réduire les émissions et les vulnérabilités climatiques dans les systèmes clés, soutenir une sortie juste du charbon, aligner les flux de financements sur les objectifs de l’Accord de Paris.
David Malpass, président du Groupe de la banque mondiale, indique que « nos réponses collectives au changement climatique, à la pauvreté et aux inégalités déterminent les choix de notre époque ». D’ores et déjà, la banque mondiale estime avoir joué un rôle éminent à travers l’octroi de plus de 83 milliards de dollars de financements climatiques durant les cinq dernières années. Pour la seule année 2020, cette somme a atteint 21,4 milliards de dollars. Une contribution qui vise à aider les pays à faire face au changement climatique.