Ces tirs interviennent dans un contexte d’insécurité, dix mois après un coup d’État dans ce pays en proie à la violence djihadiste et six jours après un putsch dans le Niger voisin
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Les coups de feu entendus aux premières heures mardi dans le centre de la capitale du Burkina Faso, Ouagadougou, étaient des « tirs de sommation » provoqués par la présence d’un individu dans le « périmètre de sécurité » d’une base aérienne, a affirmé une source gouvernementale. « Il s’agissait de tirs de sommation après qu’un individu se soit retrouvé dans le périmètre de sécurité de la zone de la base aérienne », a assuré cette source.