Après Boulkessi, le 1er octobre dernier, où, au moins, 40 militaires ont été tués, c’est le camp de l’armée de la localité d’Indelimane, dans la région de Gao, qui a été visé, le vendredi 1er novembre dernier.
Le bilan fait état de 55 personnes tuées, dont 54 militaires. L’attaque a été revendiquée par l’Etat Islamique au Grand Sahara (EIGS) au nom de la » Province d’Afrique de l’Ouest ». Avant de se retirer, les assaillants ont emporté plusieurs corps de leurs proches abattus au cours de cet assaut pour le moins surprenant.
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Source: l’Indépendant