« Je ne dis pas que le ministère de l’Economie et des Finances a une quelconque part de responsabilité pénale, mais je dis au moins que l’intérêt d’un suivi, d’une évaluation des intérêts de l’Etat, est absolument nécessaire. »
Le Mali face à ses vieux démons : depuis une quinzaine d’années, un « Monsieur anti-corruption », le Vérificateur général, fait un rapport tous les ans sur les malversations les plus graves. L’ancien procureur Amadou Ousmane Touré est en poste depuis bientôt trois ans. Son dernier rapport est accablant.
SOURCE / RFI