La chasse est ouverte contre l’EIGS et son émir au nord et au centre du pays, principalement au Gourma, alors que AQMI et ses affidés, dont le GSIM, gagnent du terrain dans des zones où les opérations conjointes ont rarement droit de cité. Comme en témoignent les récentes incursions terroristes dans les régions de Koulikoro, Ségou, Sikasso ou encore Kayes.
Source : l’Indépendant