L’enquête sur la chute de l’avion d’Air Algérie, le 24 juillet au Mali, n’a pas permis pour l’instant de parvenir à « une piste privilégiée » expliquant l’accident, a déclaré samedi le Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA) français.
« Pour l’instant, il n’y a pas de piste privilégiée », a indiqué Bernard Boudeille, un responsable du BEA en présentant à Bamako un premier rapport d’enquête sur l’accident, qui avait fait 116 morts, dont 54 Français.
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