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AGEROUTE engagée sur des grands chantiers routiers : Mohamed Attaher Ag Hamani fait taire ses détracteurs

La question d’entretien routier, notamment dans le district de Bamako était devenue l’apanage de tout le monde, internautes, connaisseurs que profanes. Une situation qui avait fini par prendre l’allure d’une véritable cabale médiatique contre les autorités publiques en général et l’Agence  d’Exécution des Travaux d’Entretien Routier (AGEROUTE) en particulier, notamment son Directeur Général, M. Mohamed Attaher Ag Hamani. C’était sans compter sur la vision éclairée de l’homme et son souci permanent de rendre les routes du pays les plus praticables au grand soulagement des usagers et des riverains. La preuve la plus visible et bien palpable de cette évidence est réelle dans le district de Bamako aujourd’hui, où des chantiers d’entretien et de rénovation routier ont été engagés dans toutes les six communes de la capitale. Le Directeur Général de l’AGEROUTE, Mohamed Attaher Ag Hamani, ne pouvait mieux faire pour taire ses détracteurs de tout acabit.

Quand la route va, tout va, dit-on. Cette assertion est bien de rigueur chez les services en charge de l’entretien routier, malgré la situation de la crise multidimensionnelle dont le pays est plongé.

Cela était devenu une ritournelle sur toutes les lèvres, un message répétitif dans les différents posts des réseaux sociaux : l’état dégradant des routes de Bamako. Mais de nos jours, grâce au dynamisme dans la promptitude la plus requise de l’AGEROUTE, sous la vision éclairée de son DG, cette plainte s’est émoussée comme du sucre dans l’eau. Et les détracteurs murés dans un silence de cimetière comme une carpe. Cela, tout simplement devant le fait qu’on ne peut plus cité un endroit ou l’Ageroute n’a pas posé ses machines. Les techniciens, manœuvres et agents d’entretien de cette structure sont à pied d’œuvre partout à travers le district de Bamako. Comme par une baguette magique, la capitale malienne s’est transformée en une ville en plein chantier qui ne tardera plus à retrouver sa coquetterie d’antan.

Selon un responsable des chantiers ouverts par l’Ageroute, les travaux sont prévus pour une durée comprise entre deux et quatre mois.

« Ils consistent entre autres, à des renforcements (reprise de chaussée) ou reconstruction de chaussée, des points à temps en enrobée, des constructions de caniveaux et des traitements d’amorces de rues » a-t-il fait savoir.

Ce qu’il faut noter relève du fait que devant le sérieux et l’importance des travaux engagés, l’assentiment des riverains ne fait point défaut.

« Nous ne pouvons dire à quel point nous sommes heureux de savoir que notre route sera refaite. C’est pourquoi dès le début des travaux nous avons décidé de notre propre gré à désinstaller les hangars qui peuvent déranger le bon déroulement des travaux », nous a confiés M. Doucouré, un détaillant au marché de Boulkassoumbougou. Même son de cloche chez les transporteurs. « En attendant la fin des travaux, nous acceptions volontiers les désagréments que cela peut causer, car après nous sommes convaincus que la qualité des infrastructures qui sont en train d’être réalisées, nous permettra de rouler là-dessus des dizaines d’années après sans problème » rassure un chauffeur de Sotrama sur le tronçon Faladiè-Rail Da.

A souligner que dans l’exécution de ces travaux d’entretien routier en cours dans le district de Bamako, il n’ y’a aucun financement de l’extérieur, ni d’aucun Partenaire Technique et Financier (PTF) du Mali. L’enveloppe allouée à cet effet provient du Fonds d’entretien routier sous l’égide de la Direction Générale de l’Autorité Routière.

Afin de veiller sur la bonne exécution des travaux engagés, la Direction Générale de l’Ageroute, à travers des équipes techniques, sous la compétence de M Mohamed Attaher Ag Hamani, effectue de manière permanente des descentes sur le terrain, sous forme de missions de supervision, dont les rapports sont passés au crible lors des réunions techniques.

« Quand la route est longue, on connaît la force du cheval » enseigne un proverbe chinois.

Maïmouna Sidibé

Source: Le SURSAUT

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