En marge de la semaine scientifique, culturelle et sportive, dénommée en anglais la “Hardweek” qui s’est tenue du 21 au 23 janvier, l’Institut des sciences politiques, relations internationales et communication (Ispric) a procédé à la graduation de plus 300 étudiants issus de toutes les filières.
C’est devant un parterre de parents d’étudiants et d’autres invités de marque que les autorités administratives et éducatives de l’Ispric ont procédé à la cérémonie solennelle de graduation de plus de 300 récipiendaires au titre des années académiques 2022-2023 et 2023-2024.
Dans les deux promotions, les femmes ont vraiment cartonné créant l’émotion et l’enthousiasme d’abord au sein des parents d’étudiants, du corps professoral et l’administration de l’Institut des sciences politiques, relations internationales et communication.
Dr. Mohamed Gakou, le directeur général de l’Ispric, dans son allocation, n’a pas caché sa fierté de voir que les femmes tiennent désormais la corde au détriment des hommes au sein de son Institut. Il a également magnifié la solennité de cette cérémonie de graduation en s’adressant aux heureux récipiendaires.
“Vous êtes le résultat de plusieurs valeurs explicatives. Souvent, vous avez vécu des moments de peine, des moments de joie. Mais aussi des moments de doutes et d’espoir. Aujourd’hui, nous en sommes là pour ainsi dire que ces étapes sont des étapes de construction de la vie. Car une vie, c’est la somme des expériences”, a fait savoir Dr. Gakou devant les récipiendaires tout en les invitant à ne pas être des demandeurs d’emplois, mais des porteurs de solutions dans les entreprises et au sein de l’administration publique.
Les récipiendaires tous et toutes joyeux ont montré leur satisfaction d’appartenir à la communauté Ispric.
“Nous sommes fiers d’appartenir à l’Institut des sciences politiques, relations internationales et communication et nous portons dans notre cœur toute notre vie et carrière”, a laissé entendre la porte-parole des récipiendaires de la promotion 2023-2024.
Ousmane Mahamane
Source: Mali Tribune