Le Boeing d’IBK ou l’oiseau de malheurs, de tous les malheurs actuels du Mali, après une période de saisi par le fisc américain, a finalement été libéré. Mais le lève se voile sur cette affaire. Il semble que l’Etat malien a mobilisé un joli pactole pour régler le fisc américain et permettre le retour de l’avion présidentiel à Bamako. Mais la zone de turbulence persiste toujours pour le Mali à cause de l’achat de cet « oiseau ».
Le FMI, la Banque Mondiale et d’autres partenaires exigent des comptes aux autorités de Bamako.
La Rédaction
SOURCE: L’Aube