Vladimir Poutine a émis un mandat de recherche à l’encontre du président de la Cour pénale international mais aucun motif n’a a été donné.
La Russie a ajouté en début de semaine Piotr Hofmanski à sa liste de personnes recherchées alors que la CPI a également lancé un mandat d’arrêté contre le président russe pour son implication dans la déportation d’enfants ukrainiens.
Ce mandat d’arrêt a notamment empêché le pensionnaire du Kremlin de se rendre en Afrique du Sud au mois d’août dernier pour le sommet des BRICS, le pays étant signataire du statut de Rome et devant donc respecter les directives venant de la Haye.
Cette annonce survient alors qu’une enquête menée par un organisme mandaté par les Nations unies a révélé que les pratiques de torture menées par l’armée russe en Ukraine avaient conduit à la mort de plusieurs personnes.
Erik Mose, président de la commission d’enquête sur l’Ukraine, a informé le Conseil des droits de l’homme des Nations unies à Genève que son équipe avait collecté assez de preuves pour affirmer que la torture avait été utilisée de manière systématique.
Il a déclaré : « Dans certains cas, la torture a été infligée avec une telle brutalité qu’elle a entraîné la mort de la victime. » ...lire l’article sur MSN