Qu’il agace, qu’il étonne, ou bien qu’il plaise, s’il y a bien une chose que l’ouvrage de Valérie Trierweiler n’engendre pas, c’est l’indifférence. Jeudi dernier, « Merci pour ce moment » faisait son apparition chez les libraires, et sur Internet. Depuis, deux teams de commerçants s’affrontent : Ceux qui le vendent, et ceux qui le boycottent. Ces derniers, forts de leurs convictions, ont créé le buzz sur la toile.

En fin de semaine dernière, tout le monde ne parlait plus que de ça : Le livre surprise de l’ancienne concubine du président de la République. Une vraie bombe étant donné les confessions éhontées que son auteure a souhaité rendre publiques, au détriment de l’image de la fonction présidentielle.  Dès lors, politiques et citoyens lambda rebondissaient sur les quelques extraits du livre publié enexclusivité dans Paris Match, pour, la plupart, finir par se procurer les 320 pages.

Très vite, les librairies ont vu leurs stocks épuisés. (Pour la petite info bonus, dès le lendemain de la mise en vente, plusieurs livres étaient trouvables sur le bon coin pour une valeur oscillant entre 30 et 70euros.). Ainsi, certains ont souhaité avertir leurs clients de la rupture de stock et ce, non sans humour et une certaine amertume face au succès des écrits de la journaliste : « Désolé, nous n’avons plus le livre de Valérie Trierweiler, mais il nous reste des ouvrages de Balzac, Dumas, Maupassant, etc. … ».

Le refus d’être « la poubelle de Trierweiler et Hollande »

Mais la team plus virulente qui a décidé de purement et simplement boycotter le récit de Madame Trierweiler a elle aussi souhaité avertir les clients de l’absence du livre afin de bien marquer le coup. Ainsi, on a pu lire sur les vitrines de quelques bouquinistes « Nous sommes libraires, nous avons 11 000 livres, nous n’avons pas vocation à être la poubelle de Trierweiler et Hollande. « Merci pour ce moment » de compréhension ». L’affiche la plus partagées indique « La (…)

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