Cet incident témoigne de la dégradation de la situation sécuritaire dans la région de Gao avec l’intensification des incursions armées dans plusieurs localités.
A noter que les mines, les munitions non explosées et l’utilisation plus fréquente d’engins explosifs improvisés font peser une menace croissante sur la population locale dans les zones les plus reculées notamment sur les axes routiers.
Selon un rapport de la MINUSMA, la population civile représente près de la moitié des victimes des mines terrestres et des explosions d’engins improvisés dans tout le pays. Au moins 42 civils ont été tués dans 82 incidents entre janvier et mai 2020, principalement dans les régions de Mopti, Gao et Kidal.
A DIARRA
Source: l’Indépendant