C’est une source sûre, au sommet de l’appareil diplomatique algérien, qui nous l’a affirmé : « la troisième phase du dialogue inclusif inter malien à Alger débutera le 19 octobre. »
Il faut comprendre par là que les pourparlers se déroulent beaucoup mieux que certaines voix le prétendent et en dépit de la recrudescence des actes de violence dans des localités du septentrion malien.
D’autres sources concordantes laissent penser qu’un format pour une nouvelle gouvernance a fait consensus entre les différents groupes politico-militaires de la rébellion et les représentants officiels du gouvernement malien en conclave à Alger depuis le début du mois de septembre.
« On ne parlera ni de fédéralisme ni de régionalisation pour l’instant, mais surtout et avant tout d’un partage des responsabilités entre le pouvoir local et les autorités centrales de Bamako. Au profit d’une paix durable et d’un développement harmonieux », explique notre confident impliqué dans le processus du dialogue. Cette annonce intervient alors qu’Alger s’apprête à recevoir le dialogue interlibyen.
N.M.
Source: Jeune-independant.net