Le Collectif des associations de la Commune I du District de Bamako est plus que jamais déterminé à apporter son soutien à la transition pour le Mali Kura. Ses responsables l’ont fait savoir, le samedi 25 décembre 2021, à Djélibougou, lors du meeting de lancement dudit collectif. Parmi les nombreuses personnalités transitionnelles, religieuses, politiques, etc., qui ont tenu à être témoins, figurent Dr. Allaye Bocoum, président de la Convention pour le Mali (CPM), le secrétaire chargé à l’information du CPM, Amadou Diallo. Il s’agissait pour les initiateurs dudit meeting de réaffirmer leur détermination, soutien, accompagnement sans faille aux autorités actuelles de la transition pour refonder le Mali, pour sortir des chantiers, le nouveau Mali (Mali Kura).
Pour prouver leur engagement ou ferme volonté à défendre la patrie, la souveraineté malienne et l’intégrité du territoire national, les jeunes du collectif des associations de la Commune I, notamment Drissa Coulibaly, Kalifa Coulibaly, Issa Diabaté, ont annoncé l’organisation, le 8 janvier 2022, au pied du Monument Général Soumaré de Sotuba (près du 3ème pont), un grand meeting.
Le président de la CPM, Dr. Allaye Bocoum, s’est dit prêt à accompagner le Collectif dans son initiative de soutien à la Transition au Mali. «Nous ne soutenons ni Choguel Kokalla Maïga, ni le président de la transition Assimi Goïta. Nous soutenons le Mali, nous défendons la patrie, sa souveraineté, son intégrité, sa libération définitive des mains des suceurs de sang », a déclaré le président de la CPM. Selon Dr. Allaye Bocoum, à travers cette transition et les actes qui sont posés du jour au jour par ses dirigeants, l’histoire est en train de se réécrire au Mali. De l’avis de Dr. Allaye Bocoum, nous devons mettre de côté nos egos pour le Mali sans lequel notre existence n’aura de sens. Les nombreux intervenants ont réaffirmé plus que jamais leur détermination à soutenir les autorités actuelles qui sont sur la bonne voie de libérer le Mali. Selon eux, «personne ne viendra libérer le Mali à la place de ses fils ».
Hadama B. Fofana
Source: Le Républicain