Le Ramadan, période de forte consommation de beaucoup d’aliments, rime aussi avec une instabilité des prix. Une augmentation d’environ 20 à 40%, selon les produits, est généralement constatée. Cette hausse est décriée par les populations à Bamako comme dans le reste du pays. Le gouvernement a annoncé un renforcement du dispositif de contrôle à travers l’application des prix fixés. Mais pour les commerçants, il serait difficile de respecter les prix plafonds, car les marchandises leur reviennent chères.
Source : Studio Tamani