Manassa Dagnioko, jusqu’à la fin de son septennat, est et reste la présidente de la Cour Constitutionnelle du Mali, contrairement aux ragots qui circulent en Arabie Saoudite sur sa prétendue démission.
Un faux abject, ridicule et humiliant sortant de la bouche de supposés candidats au hadj, des pèlerins maliens. Manassa Dagnioko, est là et très bien vissée dans son fauteuil, le regard très altier, et confiante en l’avenir de son pays et de ses institutions. Mon dieu, même lorsque certains maliens se transportent au lieu saint de l’Islam, à la Mecque, jusqu’en Arabie Saoudite, ils ne peuvent se priver de leur drogue favorite, les ragots.
Ils racontent tout, histoire d’alerter on ne sait qui, et pourquoi, comme par exemple, la démission de la présidente de la Cour Constitutionnelle du Mali. La bêtise, il ne saurait en être autrement, est racontée par des candidats au hadj, ceux – là même qui, se sont transportés en ces lieux saints de l’islam pour disent- ils, se faire pardonner de toutes leurs abominations.
Au nom de quoi, notre icône, celle de la justice du Mali, démissionnerait-elle de son poste de président de la Cour Constitutionnelle? Qu’a –t-elle fait, qu’est-ce qu’elle se reprocherait au point de vouloir briser le climat de grande confiance qui existe encore entre elle et le peuple du Mali et le président de la république ?
Manassa Dagnioko, disent les bambanas, est là, ‘’fô dibo, fô nère bô’’, inch Allah jusqu’à la fin de son septennat, n’en déplaise aux prophètes de malheurs, malheureusement candidats au hadj. Dommage pour ce beau pays où des hommes et femmes n’arrivent pas à se départir de leurs immondices même au pays du prophète Mohamad Aleye salat.
Sory de Motti