Ce cadre, à l’intégrité morale et intellectuelle reconnues, vient d’être porté à la tête de l’Institut National de Prévoyance Sociale (INPS) à la satisfaction de tous. Ou presque. Quelques jours, seulement, après sa nomination, il décide –sans tambour, ni trompette – de remettre l’INPS sur les rails. Et ce, à travers ne gestion rigoureuse des ressources ; mais aussi, des hommes.
Première victime de cette décision : Mme Golfa Fatoumata Traoré. Considérée, à tort ou à raison, comme « l’intouchable de la boîte », elle « distribuait, selon différentes sources, les marchés à qui elle voulait » sans que quelqu’un d’autre y trouve à redire. Elle était puissante. Très puissante. Plus puissante, dit-on, que le directeur général de l’INPS.
Mais, ce qui devrait arriver, arriva ! il y a quelques jours, Mme Golfa Fatoumata Traoré vient d’être vient d’être limogée par le nouveau directeur général. Avec de son ministre de tutelle. Un geste apprécié par la quasi-totalité des travailleurs de l’INPS.
Mohamed El Heïba
Source : Canard Déchainé