La mise en œuvre de l’Accord d’Alger ne connaît pas d’avancée depuis sa signature en 2015. À chaque fois que trois pas sont franchis on assiste à un retour en arrière de quatre pas. C’est à ce jeu auquel nous assistons depuis 2015 avec les différentes accusations mutuelles de mauvaise foi dans la mise en œuvre entre parties signataires. L’impression est donnée que cette situation de turbulence dans la mise en œuvre de l’Accord d’Alger plait à certaines personnes qui sans aucun doute, se nourrissent de la crise. Ce (…)
PAR MAHAMANE TOURÉ
Source: NOUVEL HORIZON