Beaucoup de filles africaines sont attirées dans des pièges avec des promesses pour un travail de nettoyage, de serveuses de bar, de femmes de ménage et autres. Une fois qu%u2018elles arrivent à destination, la procédure standard est que leurs passeports sont retirés et qu’elles sont sont « rodées ». (soumises à des exercices sexuels intenses)
Dans un entretien avec plusieurs prostituées africaines victimes de la traite dans une ville de province à Danemark, une des filles a dit avoir été hospitalisé avec de graves pertes de sang après avoir été forcé à servir de nombreux «clients» un jour au même moment.
Interrogée pour savoir comment elle a réussi à subvenir aux charges hospitalières? Elle a affirmé que la carte d’assurance-maladie lui a été « prêté » par son « souteneur ». Lorsqu’on lui a demandé pourquoi elle n’a pas profité de l’occasion pour s’échapper, elle dit avoir eu peur. Son proxénète qui sait ou se trouve sa famille, peut tuer un membre de sa famille à tout moment.
Le prix standard pour ces jeunes filles africaines victimes de la traite au Danemark est entre 170 et 200 dollars par heure. Une jeune fille victime de la traite peut espérer gagner environ 20 à 30 des 200 dollars. A partir de ce résultat, elles sont souvent obligées de payer 50 %u2013 100 dollars par jour pour le logement et autres «services».
On peu trouver beaucoup de filles africaines victimes de la traite dans des situations similaires par milliers à travers l’Europe. La grande majorité d’entre elles sont des ex-colonies françaises, maintenant les Etats membres UMEOA ou l’un des pays de «l’intérêt particulier» pour les autres Etats membres de l’OTAN