Hé oui, il n’y aura de partage de gâteau ; le Mali ne sera à la merci de personne. IBK avait trop parlé. Un an après, il se rend compte que les choses ne sont pas faciles. Il accusait ATT d’avoir envoyé certains de ses anciens ministres dans les ambassades du Mali, en Occident.
Lui-même le fait aujourd’hui, puisque Bruno Maïga, ancien ministre de la Culture, vient d’être nommé ambassadeur du Mali en Italie. IBK et la réalité du pouvoir, c’est autre chose ! Aujourd’hui, ce sont les directeurs généraux qui sont en train de baptiser leurs enfants IBK. Illustration : le PDG déserteur de l’Office du Niger a un homonyme d’IBK chez lui.
Au temps d’ATT, le ministre de l’Equipement et des Transports Ahmed Diané Séméga avait fait la même chose. Peut-être qu’après les PDG, ce serait le tour des ministres et des députés, dont certaines sont actuellement en état de grossesse. Souhaitons que les homonymes d’IBK ne lui ressemblent pas et le «dépassent», lui qui peine à donner un sens à son régime.
Merci la Chine !
Merci pour les futurs ponts au Mali, les routes, les usines, l’énergie, les nouvelles technologies. Des projets réalisables pour le reste des 4 ans du régime d’IBK. Merci surtout d’avoir donné un programme de travail et de société à notre président. Ça lui profite le plus ; toutes les annonces faites en Chine lui permettent de faire «taire» l’opposition et les opposants.
Mais à condition que lui et son équipe soient en mesure de transformer les bonnes intentions des Chinois en projets et programmes exécutables et viables pour les Maliens. Parce qu’il y en a, qui ont doivent être bien ficelés afin que les banques chinoises puissent intervenir au Mali. Il faut surtout que les choses aillent dans un certain sens pour ne pas décevoir les partenaires chinois. En tout cas, merci la Chine.
Source: Le Reporter