Pour préserver le service des impôts de conséquences dévastatrices d’une crise syndicale à rebondissement. Après plusieurs tentatives de renouvellement du bureau syndical de la DGI sur fond de contestations et d’agitations, les autorités ont fini par entrer dans la danse, jeudi dernier, en stoppant de justesse une dérive qui risquait de tourner au pugilat. Les leaders des deux tendances opposées ont été contraints à l’apaisement par les hautes autorités, après une suspension forcée à l’issue de laquelle une concession leur a été opposée. Il nous revient de bonne source la décrispation est passée par le renoncement de chaque partie à son ambition, au nom de la nécessité de préserver un climat propice au rendement du service.
Nos confidences indiquent toutefois que la bataille de positionnement en cours demeure sous-jacente pour autant qu’elle tourne autour de deux enjeux, à savoir : la récupération des structures syndicale par l’élite des impôts ainsi que la gestion d’u fond de solidarité qui s’élèverait à une centaine de millions de nos francs par an.
La Rédaction
Le témoin