L’agence des Nations unies traverse sa pire crise. Scandales sexuels, harcèlements, gestion financière floue. L’arrivée d’une femme d’expérience à sa tête est la dernière chance de survie pour l’institution.
L’arrivée, ce 15 août, d’une femme à la tête de l’Onusida aurait dû être une simple bonne nouvelle. C’est que Winnie Byanyima, spécialisée en génie mécanique et en aéronautique (c’est aussi un symbole) était directrice exécutive d’Oxfam International depuis 2013 et avait auparavant été pendant sept ans directrice du programme Genre et développement du Programme des Nations unies pour le développement. Mais elle devra non seulement lutter contre le sida dans le monde, mais surtout contre l’état de délitement profond que connaît l’agence spécialement créée en 1994 contre cette pandémie mondiale…Lire la suite sur lesoir.be