Après avoir échouée diplomatiquement, militairement et après avoir instrumentalisé la CEDEAO (les sanctions) contre le Mali, la France prépare une guerre civile par l’utilisation de politiciens apatrides, égarés, carriéristes et chômeurs dans leur majorité pour semer le désordre dans le pays.
Ces politiciens apatrides et égarés sont à la base de l’effondrement du Mali avec plusieurs décennies de leur gestion chaotique du pays.
Par conséquent, on ne veut plus de 26- Mars bis. L’autre 26 mars 91 a été un échec total et un cauchemar pour le peuple malien à cause de la mauvaise gestion de certains acteurs politiques qui s’agitent aujourd’hui encore pour revenir aux affaires.
Que ces politiciens apatrides, égocentriques et égarés sachent que le Mali n’est pas leur propriété privée et que le vaillant peuple malien s’assumera. Aucun désordre ne sera toléré dans le Malikura en gestation.
Au moment où les Forces armées maliennes (FAMa) montent en puissance en libérant les localités précédemment occupées par la France en collaboration avec les terroristes, c’est ce même moment que certains politiciens chômeurs, carriéristes et esclaves mentaux veulent semer le désordre pour faire plaisir à la France.
Dans l’histoire des interventions militaires, on constate que partout où la France est passée, elle n’a créé que du chaos et la désolation. La France provoqua le génocide au Rwanda, la guerre civile en Centrafrique, en Côte d’Ivoire, en 2010, pour imposer Alassane Ouattara comme président contre le panafricaniste Laurent Gbagbo et actuellement elle prépare le chaos au Mali. Mais ce chaos ne passera pas car le peuple malien dans son ensemble est un peuple avisé et béni.
Le peuple malien a décidé de prendre son destin en main en chassant la France et ses collabos vassaux carriéristes de l’intérieur.
Les politiciens apatrides et égarés veulent nous faire revenir dans l’ancien système basé sur la corruption endémique, l’achat de conscience, la paupérisation, la mauvaise gouvernance et surtout le bradage de nos ressources de toutes sortes à la France. C’est d’ailleurs la raison principale que ces politiciens apatrides et égarés veulent impérativement qu’on parte aux élections pour revenir encore aux affaires pour continuer à sucer le sang des Maliens. Malheureusement pour eux, le peuple malien est éveillé maintenant et rien ne sera plus comme avant.
Le processus de la Refondation du Mali est en marche et c’est la volonté de l’ensemble du peuple malien.
Il est bon de savoir que les politiciens égarés qui s’agitent aujourd’hui pour qu’on parte aux élections sont des politiciens carriéristes qui ont eu à gérer le Mali pendant ces trente (30) dernières années et ils sont à la base de l’effondrement et de la situation chaotique du Mali.
Ce que ces hommes d’affaires…., pardon, politiciens, n’ont pas pu faire en plusieurs décennies de gestion publique, les autorités de la transition sont en train de réaliser cela en seulement quelques mois de la gestion des affaires publiques: la libération des zones occupées par la France et ses amis terroristes, le retour des milliers de réfugiés dans leurs localités, la réouverture et la reprise des cours dans presque 300 écoles qui étaient fermées. Une prise de conscience collective des Maliens. L’honneur et la dignité retrouvée des Maliens.
On comprend maintenant que le problème du Mali a été toujours un problème de leadership. Un leader patriote et qui a l’amour du Mali et des Maliens, un leader qui n’a pas de double nationalité comme nos anciens dignitaires qui sont presque tous français ou d’autres nationalités.
Sous l’ancien régime (c’est-à-dire sous la gestion des politiciens qui crient aujourd’hui qu’on parte aux élections), on avait honte d’être Malien. Dans les forums internationaux, on avait honte de se présenter comme étant Malien tellement le pays était tombé ci bas.
Lors d’une de mes missions à l’extérieur il y a de cela quelques années, pendant la pause café, j’ai été interpellé par deux (02) collègues du Kenya et du Mozambique qui me questionnaient sur le patriotisme et la clairvoyance des dirigeants maliens et me demandaient pourquoi les cadres ne s’impliquent pas aux questions publiques du pays? J’étais embarrassé et je me suis défendu en disant que nos élections étaient toujours bâclées et que c’est la France de façon illégale imposait nos présidents comme se fut le cas en Côte d’Ivoire, en 2010 et comme au Mali, en 2018, où le président français, Emmanuel Macron avait félicité feu Ibrahim Boubacar Kéita avant même la proclamation officielle des résultats par la Cour constitutionnelle. Bref, c’était une parenthèse.
Le peuple malien dans sa majorité dit non à un retour à l’ordre ancien incarné par des hommes d’affaires véreux déguisés en politiques pour mieux sucer nos sangs avec la bénédiction de leur maître… la France
Le Mali survivra. Que Dieu bénisse notre chère patrie !
Bakary COULIBALY, Élan Patriotique
Source: Inter De Bamako