Bamako se tourne vers Moscou pour lancer l’exploration, l’extraction et le traitement de ce métal jusqu’à une concentration de 6%, a précisé Alousséni Sanou.
D’ici 7 à 8 ans, le Mali espère atteindre un niveau du raffinage du lithium qui lui permettra de créer ses propres batteries électriques, a ajouté le ministre.