L’affaire des 49 militaires ivoiriens est loin d’être derrière nous, écrit lundi Togo Matin.
Après la libération de 3 soldats de sexe féminin, on constate que les deux parties (Côte d’Ivoire et Mali) ont repris la guerre de communication. Mais, les dirigeants des deux pays ne devraient-ils pas respecter l’obligation de réserve afin de faciliter la tâche à la médiation togolaise, se demande le journal.