La libération conditionnelle d’Eugène de Kock, le tueur numéro un de l’apartheid, provoque un début de polémique dans le pays. Les familles de victimes sont divisées.
Les derniers jours ont encore une fois montré que les plaies laissées par l’apartheid n’était toujours pas cicatrisées en Afrique du Sud. La remise en liberté conditionnelle d’Eugène de Kock, reconnu coupable de torture et d’assassinats d’opposants, ravive le débat au sein des familles de victimes. Certaines estiment qu’il a suffisamment aidé la justice ces dernières années, d’autres au contraire mettent en doute les remords exprimés par De Kock. Elles dénoncent la libération d’un meurtrier de sang froid.
Source: franceinfo.fr